Publié le : 20 janvier 20204 mins de lecture

Les activités physiques autant que les activités sociales sont difficilement accessibles pour les personnes souffrant de handicap physique ou de paralysie au niveau des membres. Toutefois, des activités sportives permettent à ces gens d’éviter des situations encore plus fâcheuses dues à une trop grande immobilité.

Les difficultés de pratiquer du sport pour les personnes tétraplégiques

La tétraplégie est avant tout la paralysie des quatre membres, c’est-à-dire des membres inférieurs et supérieurs. Faire du sport n’est pas une chose évidente pour les personnes handicapées, du fait de leurs problèmes physiques. Néanmoins, ces activités leur sont très bénéfiques et de nombreuses associations sportives particulièrement créées pour ces personnes existent. Le nom donné à la pratique du sport par des personnes ayant un handicap est le handisport. Ce dernier possède déjà une notoriété remarquable puisque des jeux olympiques handisports existent déjà. Cependant, l’accès à ces handisports nécessite une évaluation de ces personnes défavorisées. De nombreux facteurs doivent être tenus en compte afin de permettre à ces gens de bénéficier des activités sportives. L’objectif est que la pratique du sport leur soit bénéfique et non une pénalité qui pourraient aggraver leur situation.

Les types d’activités adaptées aux personnes en situation de handicap

Les sports pour les personnes tétraplégiques sont nombreux, mais nécessitent un suivi de préférence par les médecins qui s’occupent de leur rééducation. Le but est de reconditionner les handicapées à l’effort tout en contrôlant leurs fréquences cardiaques. D’innombrables activités en gymnase comme le badminton, le basket, le tir à l’arc ou le tennis de table sont disponibles pour eux. Ces gens doivent aussi apprendre le fauteuil roulant en faisant des exercices comme les passages d’obstacles ou les trottoirs pentes. Ces activités contribueront énormément à leur rééducation parce qu’elles entretiennent les capacités cognitives et physiques des patients. L’intérêt est de leur montrer que faire du sport est plausible malgré le fardeau qu’ils endurent, après l’opération ou l’accident qu’ils ont subi.

La possibilité de faire du sport malgré une maladie évolutive

Dans le cas où la maladie s’aggrave de façon plus ou moins rapide, pratiquer du sport est toujours envisageable. Faire des activités régulières à un rythme de 2 à 3 fois par semaine les aiderait précieusement et participerait à garder un certain bien-être et à augmenter leurs aptitudes physiques. C’est le moment opportun afin de les encourager à poursuivre les exercices, car cela leur permet de maintenir une certaine autonomie et un confort de vie.